Dans le dernier acte, les Sarthois ont laissé filer la victoire au profit de l'Elan Béarnais.
Après avoir longtemps joué d'égal à égal avec les Béarnais, les Espoirs ont lâché prise dans les dernières minutes. Ils ont perdu le 4ème quart-temps (13-23) comme ils avaient cédé dans le 2ème (12-25).
Le Film du match :
Les Manceaux ne tardaient pas à se détacher (11-4, 4ème). A 3 points, Jean-Philippe Dally portait même l'avance mancelle à 8 unités (16-8, 7ème) et Louis Marchand l'entretenait (19-11, 9ème). L'écart était à peine réduit en fin de 1er quart-temps (21-14). Plaçant imméditament un 8-0, les Palois s'emparaient des commandes (21-22, 12ème). Au cœur du 2ème acte, les Manceaux cédaient un peu de terrain (25-30, 14ème) et beaucoup plus quelques minutes plus tard (31-39, 20ème). Sur la ligne de réparation, Earvine Bassoumba ramenait les siens à 6 longueurs à la mi-temps (33-39). Après avoir résisté, les Béarnais cédaient sous les coups de boutoir d'Antoine Wallez (45-44, 23ème) mais ils reprenaient la tête (47-48, 27ème). Les Sarthois s'offraient alors un 7-0 pour se dégager (54-48, 30ème). Si l'Elan Béarnais revenait à hauteur (54-54), les joueurs d'Antoine Mathieu viraient en tête à la fin de la 3ème période (56-54). Un 8-0 béarnais répondait à un triple de Louis Marchand (59-62, 33ème). Alors que les choses étaient mal engagées, Antoine Wallez plantait un missile longue portée (69-68, 38ème). C'était le chant du cygne pour les Manceaux qui étaient décrochés par les Palois (69-77).
Le Manceau du match :
Petr Cornelie étant encore réservé pour les Pros, Antoine Wallez a su prendre ses responsabilités offensives. Ainsi, il a scoré 23 points à 8/16 aux tirs dont 2/4 à 3 points. Par ailleurs, il captait 6 rebonds dont 2 offensifs et terminait la partie avec une évaluation de 20, le tout en 31 minutes.
Le Chiffre du match :
10. Les Sarthois ont réussi 10 des 15 lancers-francs qu'ils ont tentés. Les Béarnais en ont marqué 10 de plus (20/25) en étant plus agressifs offensivement. Ainsi, les fautes qu'ils provoquaient les menaient sur la ligne de réparation où ils remportaient la partie.